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Les échanges de ce jour ont permis de faire ressortir les axes suivants: • Le besoin de poursuivre les concertations sous un format de proximité • La nécessité de tenir compte des concepts pilier vert et pilier bleu dans la production alimentaire • Maximiser les efforts d’accompagnement des jeunes par les formations • encourager les initiatives privées par l’entremise de la SFI (Société Financière Internationale), organe qui octroie des prêts auprès de la Banque Mondiale • Développer le concept far du PNUD « Sensibilisation-leadership-action » • Développer le syst... Подробнееème de communication • Développer et accroître la production locale pour assurer la sécurité alimentaire • Développer les circuits de collecte des produits agricoles • développer la Recherche appliquée • L’importance de l’eau • Dynamiser le concept une seule santé (one health) • Formaliser la plateforme multi-acteurs Скрыть

Au cours des échanges, quelques pistes de solution ont été apportées : -changer de paradigme en matière de commercialisation des produits alimentaires -respecter les bonnes pratiques en matière de production afin de préserver l’intégrité de l’écosystème -Produire les semences de qualité pour protéger les systèmes de production -Insérer les aspects environnementaux dans la Déclaration de MAPUTO -mettre l’accent sur les aspects environnementaux (enjeu primordial du Gabon au sommet mondial sur les systèmes alimentaires) dans l’élaboration de la feuille de route. - faire ... Подробнееle distinguo entre les OGM vivants qui sont des semences (susceptibles de déséquilibrer l’écosystème et la santé du consommateur) et les produits à base d’OGM (qui n’ont pas d’impacts majeurs sur l’environnement et le consommateur) tels que les aliments pour animaux -Prendre en compte dans les projets agricoles, en tant que couches vulnérables, les personnes vivant avec le VIH -Octroyer des terres agricoles à ce groupe de personnes -le gouvernement doit s’impliquer fortement dans la mise en œuvre des différents projets. -offrir des programmes structurés pour prévenir les carences par: *la supplémentation en vitamine A des enfants *la consommation des aliments riches en fer *la sensibilisation des jeunes sur l’obésité *la sensibilisation des parents sur l’alimentation des enfants *formalisation des partenariats avec les écoles et l’UNICEF -réformer le Centre National de Nutrition -octroyer aux réfugiés des terres pour les activités agricoles, commerciales etc -tenir compte à la fois de la santé de l’homme, des animaux et de l’environnement : approche une seule santé (one health) développer une économie circulaire -garantir la santé et le bien-être de l’homme : pratique de l’agro-écologie -promouvoir l’agriculture à forte productivité par la mobilisation des jeunes à travers : la digitalisation et la mécanisation de l’agriculture -Promouvoir l’agriculture en la rendant attrayante -créer un environnement des affaires favorable -mener des concertations au niveau régional (coordination régional) -concrétiser les pistes de solution (passer à l’action) -développer les pistes agricoles -l’engagement ferme des partenaires techniques et financiers est fortement souhaité. Скрыть

Il faut noter que l’objectif de cette session est de recueillir les avis et observations des partenaires techniques et financiers dans l’optique d’enrichir la position nationale pour l’élaboration de la feuille de route. Les discussions de cette session ont permis d’aboutir aux résultats suivants : 1. Le rôle crucial de la société civile, ainsi que celui des Partenaires Techniques et Financiers dans le développement des systèmes alimentaires. 2. L’alimentation: élément transversal clé du développement durable 3. L’enjeu environnemental lié dérèglement climatique (pr... Подробнееéservation de l’écosystème) 4. L’enjeu relatif à l’intégrité des écosystèmes 5. L’enjeu concernant les productions ( l’utilisation des OGMs) 6. L’apport nutritionnel du jeune enfant de 0 à 5 ans, des femmes enceintes et allaitantes 7. L’importance de l’allaitement maternel exclusif de 0 à 6 mois 8. Les conséquences de la malnutrition : niveau d’obésité de l’enfant gabonais, 2 fois plus élevé que celui des pays de l’Afrique subsaharienne (EDS 2012) ; Anémie de la femme enceinte (EDS 2012) 9. La santé des personnes vulnérables (les sujets vivants avec le VIH, les femmes enceintes, les enfants de 0 à 5 ans 10. L’intégration des réfugiés 11. Le conflit homme-faune Скрыть

Résultats spécifiques du sujet de discussion 1 : « Conflit Homme-Faune » : - Faire appliquer les dispositions du décret portant battue administrative et légitime défense au niveau des villages car la majorité des villageois en ignorent l’existence ; - Intensifier et diversifier les méthodes de lutte préventive : • Augmenter le nombre de clôtures électriques, préconisées par le Ministère en charge des Eaux et Forêts ; • Envisager un autre type de barrières connectées à une centrale électrique qui envoient des décharges électriques adaptées à la taille de l’animal... Подробнее, système déjà expérimenté au niveau du Japon ; • Ajouter aussi des barrières écologiques de Jatrofa qui est une plante répulsive utilisée contre les caprins, les hérissons, les éléphants, les serpents, etc. ; • Renforcer l’éclairage autour des plantations la nuit ; - Renforcer la règlementation sur l’exploitation forestière des essences servant de nourriture aux éléphants, par exemple l’Odika et poursuivre la recherche scientifique pour identifier les autres essences consommées par les animaux ; - Créer des couloirs de cantonnement des éléphants en plantant des essences de consommation dans des lieux précis pour les sédentariser à un endroit bien déterminé ; - Développer l’apiculture qui peut constituer un dispositif d’alerte pour perturber les éléphants ; - Créer des plantations d’arbres fruitiers qui serviront de réserve de nourriture pour les éléphants ; - Former les agriculteurs afin de les sédentariser sur les mêmes terres ; - Créer un fonds d’indemnisation des victimes ; - Prévoir des lignes budgétaires supplémentaires pour le Ministère des Eaux et Forêts afin de financer l’acquisition des barrières électriques ; Résultats spécifiques du sujet de discussion 2 : « Renforcement de la collaboration multisectorielle et soutien des actions locales et innovantes/Promotion des NTIC » : - Améliorer les techniques de production, les semences et les techniques culturales ; - Ouvrir et entretenir les voies d’accès dans les champs ; - Faire intervenir la responsabilité sociétale des entreprises (exemple : collaborer avec les entreprises forestières pour la création et l’entretien des routes) ; - Développer des mécanismes de vente des produits agricoles sous forme de partenariats avec les potentiels acheteurs (cantines, hôpitaux, hôtels, restaurants, prisons et autres revendeurs) ; - Vulgariser l’utilisation des moto-bennes entre les points de production et les points de vente des produits agricoles ; - Promouvoir l’éducation environnementale et nutritionnelle dans les centres urbains et ruraux par les mass-médias ; - Inciter les acteurs de la chaine des valeurs à cotiser pour une pension retraite qui leur permettrait de sortir de la pauvreté même après leur retraite ; - Multiplier les réseaux d’échanges entre agri-preneurs et vulgariser les services et avantages qui leur sont offerts ; - Réglementer la rémunération des tâches agricoles ; Résultats spécifiques du sujet de discussion 3: «Renforcement de la recherche scientifique et vulgarisation des résultats de recherche» - Mettre un financement conséquent dans la recherche notamment en réhabilitant les infrastructures existantes tel que le centre d’introduction et de multiplication du matériel végétal et animal de Ntoum, en renforçant les capacités des acteurs de la recherche, en relançant le réseau d’unités d’expérimentation au niveau national, en attribuant des budgets pour la vulgarisation ou la relance des centres d’appui technique agricole (CATA et CATE). Le budget pourrait provenir de la création d’une taxe sur les importations alimentaires ainsi qu’en engageant la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) ; - Renforcer le partenariat entre le Ministère de la Recherche et celui de l’Agriculture ; - Créer un Conseil National de la Recherche pour orienter et conduire les politiques de recherche : collaboration tripartite Ministère de l’Agriculture-Producteurs-Ministère de la Recherche ; - Mettre en place une recherche participative entre les chercheurs et les paysans pour les activités d’expérimentation ; - Mettre en place des programmes de sélections variétales végétales (cultures vivrières) et animales y Скрыть

La thématique abordée ce jour a porté sur « Renforcer la résilience face aux vulnérabilités, aux chocs et au stress ». Elle a été examinée sous trois (3) axes majeurs : 1. Conflit Homme-Faune : Le Gabon a signé des conventions internationales pour préserver sa faune. Dans ce conflit, le problème des éléphants est un problème persistant qui cristallise les préoccupations des populations en zone rurale : ils sont à l’origine des destructions de cultures et de plusieurs décès. Aussi était-il question, après avoir identifié les origines du conflit, de proposer des méthod... Подробнееes et des mesures visant à l’atténuer ; 2. Renforcement de la collaboration multisectorielle et soutien des actions locales et innovantes/Promotion des NTIC : il s’agissait de proposer des axes de partenariat entre différents départements ministériels pour booster le secteur agricole par des innovations technologiques ; 3. Renforcement de la recherche scientifique et vulgarisation des résultats de recherche : les travaux ont consisté à réfléchir aux moyens d’améliorer le secteur agricole en termes de qualité de la matière végétale et animale ainsi que des pratiques culturales. Скрыть

Des principales conclusions qui ont émergé des assises, il ressort ce qui suit : - Le conflit Homme-Faune a toujours existé. Mais la politique de protection des Éléphants menées par le Gouvernement a favorisé l'augmentation du cheptel; le Gabon compte actuellement une population de 90 000 éléphants.. De plus le changement climatique ont bouleversé les habitats des éléphants. En effet, selon les résultats d’une étude réalisée en 2020, la hausse des températures et la diminution des pluviométriques ont entrainé une raréfaction de la nourriture des pachydermes. - La persista... Подробнееnce du conflit Homme-Faune menace la sécurité alimentaire ainsi que celle des exploitants agricoles vivants dans les villages : 8 décès enregistrés en 2020, 15 accidents et 8 300 plaintes à l’administration compétente. Sans solution efficace, il sera difficile de convaincre les jeunes de répartir s’installer en zone rurale et d’y mener des activités agricoles. Les instances internationales devraient donc accompagner le Gabon dans la mise en œuvre d’une agriculture écoresponsable qui lui permettrait de lutter contre la pauvreté, la faim et favoriserait l’autonomisation des femmes, des jeunes et des personnes vivant avec un handicap. - La recherche, pour améliorer les conditions de production, devrait être subventionnée par l’Etat pour faciliter l’acquisition de leurs résultats par les exploitants agricoles. Ainsi, en zone rurale, les entreprises forestières en collaboration avec le département en charge des infrastructures devraient mettre en œuvre les politiques d’actions pour entretenir le réseau routier indispensable à l’écoulement des productions agricoles, pour maintenir un climat de sérénité avec les populations locales. - En matière de recherche scientifique, il y a une absence de communication et de synergie entre chercheurs, entre ces derniers et le Ministère de l’Agriculture ainsi que les acteurs agricoles. Très souvent, la recherche dans le secteur agricole ne reflète pas les besoins des acteurs. La recherche est aussi minée par une insuffisance de moyens financiers : certains chercheurs financent eux-mêmes leurs travaux et la vulgarisation devient alors difficile auprès des paysans. Il est donc indispensable que le secteur de la recherche puisse bénéficier de financements importants et que les Ministères en charge de la Recherche et de l’Agriculture puissent développer des passerelles de collaboration et des partenariats. Скрыть

La thématique abordée ce jour a porté sur « Promouvoir des moyens de subsistances équitables ». Elle a été examinée sous trois (3) axes majeurs : 1. Mise en place d’un salaire minimum agricole garanti (SMAG) attrayant : il était question de savoir si les travailleurs du secteur agricole sont pris en compte dans la réglementation en vigueur relative au Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti (SMIG), et de déterminer les mécanismes que l’Etat pourrait mettre en place pour accompagner les producteurs familiaux établis en zone rurale, particulièrement les jeunes et les femmes... Подробнее. 2. Accès aux financements : il s’agissait d’identifier les sources et de proposer les mécanismes de financement des activités agricoles. 3. Adoption des mesures incitatives pour encourager les jeunes, les femmes et les personnes vivant avec un handicap dans l’entreprenariat agricole : il s’agissait d’une part de déterminer les rôles joués par l’Etat et les organisations internationales telle que la FAO dans la sensibilisation, la formation, la promotion et la vulgarisation des métiers agricoles auprès des jeunes, des femmes et des personnes vivant avec un handicap et d’autre part, d’identifier les zones agro pédoclimatiques et les filières agricoles d’avenir destinés aux jeunes, aux femmes et aux personnes vivant avec un handicap. Скрыть

Des principales conclusions qui ont émergé des assises, il ressort ce qui suit : - L’analyse de corpus législatif et réglementaire en matière de salaire fait apparaitre la non-prise en compte des aspects spécifiques du secteur agricole. Tous les textes juridiques existants prévoient un modèle de 40h de travail par semaine. Or, il a été constaté que l’ouvrier agricole n’a pas le même volume horaire que les travailleurs des autres secteurs (48h de travail par semaine) et que l’activité agricole se déroule en milieu rural loin des commodités et conforts des zones urbaines. ... ПодробнееDe plus, la convention collective appliquée dans le secteur agricole est celle utilisée dans le secteur des eaux et forêts. Il faudrait donc prévoir un régime juridique permettant un traitement spécifique de l’exploitant et l’employé agricole. - Il est primordial de mettre en place un fonds d’investissement pour soutenir les activités agricoles. Les professionnels du secteur agricole sont disposés à contribuer à sa mise en place par des apports financiers volontaires qui seront complétés par l’Etat ; - Les institutions bancaires doivent disposer de spécialistes des questions agricoles pour mieux apprécier les demandes de financements y relatifs. Plusieurs demandes de crédits sont soit rejetées ou soit traitées de façon approximative et avec beaucoup de lenteur. - L’Etat devrait mettre un accent particulier sur la sensibilisation et la formation des jeunes dès le bas âge via les NTIC pour promouvoir et vulgariser les activités du secteur agricole génératrices de revenus. - Pour sédentariser les jeunes en zone rurale, il est primordial pour l’Etat d’améliorer leur cadre de vie en mettant un accent particulier sur les services sociaux de base tels que l’hôpital, l’école, les centres de loisir, internet, les banques, etc. Скрыть

Résultats spécifiques du sujet de discussion 1 : « Mise en place d’un salaire minimum agricole garanti (SMAG) attrayant » : - Procéder à une relecture et à un enrichissement du projet de texte actuellement en cours portant création du SMAG en tenant compte des préoccupations des travailleurs agricoles aussi bien en zone urbaine que rurale notamment par la création d’une allocation sociale de solidarité au profit des producteurs non-salariés ; - Accélérer l’aboutissement du SMAG par l’adoption du texte l’instituant ; - Sensibiliser et encourager les petits producteurs et... Подробнее petits commerçants du secteur agricole à l’épargne retraite, et en assurer la promotion ; - Elaborer une convention collective du secteur agricole. Résultats spécifiques du sujet de discussion 2 : « Accès aux financements » - Contraindre les entreprises locales installées à reverser une quote-part auprès d’une banque qui financera les activités agricoles des personnes morales sur présentation d’un business plan solide et respect d’un cahier de charges ; - Alléger les modalités d’accès au financement ; - Négocier les taux d’intérêt abordables auprès des organismes et institutions bancaires locaux pour les projets de développement (moins de 3% 😉 - Renforcer des capacités institutionnelles pour proposer des biens et services adaptés au secteur agricole (petits producteurs, agriculture familiale, OPA) en assurant une meilleure contribution de la recherche dans l’évaluation des risques des projets, en proposant des outils d’aide à la décision, en mettant en place une synergie entre les établissements financiers et les producteurs, en proposant le leasing sur les acquisitions du matériel agricole (la banque reste propriétaire jusqu’à épuisement du crédit), en prévoyant des crédits saisonniers et des souscriptions d’assurance ; - Mettre en place des procédures d’allègement bancaire : renforcer les organisations paysannes à faire valoir leurs droits auprès des banques ; - Créer un fonds d’investissement agricole pour garantir l’accès au crédit de petits producteurs ; - Créer un fonds d’aide au financement agricole - Mettre un accent particulier sur le financement des projets portés par les femmes et les jeunes, qui sont les acteurs les plus impliqués et vulnérables dans le secteur : prévoir un pourcentage au départ pour ces acteurs ; - Favoriser la contractualisation des acteurs de la chaine de valeurs pour mieux mobiliser les fonds ; - Promouvoir les nouveaux outils de paiement et d’épargne numérique. Résultats spécifiques du sujet de discussion 3 : « Adoption des mesures incitatives pour encourager les jeunes, les femmes et les personnes vivant avec un handicap dans l’entreprenariat agricole » - Dégager les gains de production agricole ; - Valoriser les métiers agricoles ; - Mettre à disposition un foncier sécurisé, un accès au crédit et aux intrants agricoles et organiser les filières ; - Renforcer l’esprit association pour promouvoir des actions coordonner en vue de l’obtention de financements auprès des différents bailleurs de fonds et appuyer, accompagner techniquement les acteurs du secteur agricole ; - Mettre en place un système d’alphabétisation fonctionnelle pour apporter plus de confiance aux personnes délaissées. - Installer un climat de confiance entre les associations de producteurs et les partenaires des microfinances ; - Initier les jeunes aux métiers agricoles par la création de programme scolaire d’encadrement dès le bas âge ; - Mettre en place un partenariat entre les Ministères en charge de l’agriculture et l’éducation nationale pour inscrire dans les agendas scolaires des formations et des vacances agricoles. - Améliorer les plateaux techniques des écoles agricoles afin d’améliorer la qualité technique des curricula ; - Créer des villages agricoles ; - Créer un cadre de vie attractif en zone rural pour fixer les jeunes : hôpitaux, banques, écoles, garderie d’enfant, internet - Faire tomber les barrières qui empêchent l’entreprenariat agricole surtout des jeunes diplômés dans le secteur agricole ; - Vulgariser et valoriser tous les métiers de l’Agriculture ; - Apprendre aux gens à cotiser, à faire des rapports et à tenir une comptabilité ag Скрыть

Les points de divergence ont porté essentiellement sur la mise en place d’un Salaire Minimum Agricole Garanti (SMAG) et sur la notion d’handicap. • S’agissant du SMAG, les avis divergent sur la nécessité de l’instaurer comme mesure incitative dans le secteur agricole. L’agriculture est d’abord et avant tout une affaire de passion. Il est important de prôner, de valoriser et de promouvoir les différents métiers de l’agriculture par la démonstration de son apport. Les expériences des pays qui ont mis en avant la rémunération dans le secteur agricole poussent à revoir c... Подробнееe concept. • Quant au terme handicap, les avis sont mitigés sur cette question car, très souvent des amalgames surgissent entre les personnes porteuses ou souffrant d’une maladie celles ayant une incapacité physique à participer à certaines activités agricoles. Les personnes vulnérables également sont concernées. Скрыть

La thématique abordée ce jour a porté sur « stimuler une production respectueuse de la nature ». Elle a été examinée sous deux (2) axes majeurs : 1. Promotion de bonnes pratiques d’une agriculture climato-compatible : C’est un modèle d’agriculture qui s’adapte aux changements climatiques pour maintenir la productivité tout en s’efforçant de réduire les émissions des gaz à effets de serre. Il était question pour les panélistes de proposer des pratiques agricoles pour stimuler une production respectueuse de la nature. A cet effet, les échanges ont essentiellement tourn... Подробнееé autour des systèmes de production agricole. Les débats se sont orientés vers la recherche et développement pour actualiser les calendriers culturaux afin de s’adapter aux changements climatiques. Promotion de l’utilisation des intrants performants et utilisation rationnelle des pesticides : Un accent particulier a été mis sur le rôle joué par le Bureau sous régional de la FAO pour l’Afrique centrale qui a formé différents agents des services techniques des Ministères en charge de l’Agriculture et de la Recherche à la fabrication des bio pesticides, en vue de limiter l’utilisation des pesticides de synthèse. La formation des agriculteurs a également été mis en avant sur la fabrication des composts. De façon générale, il était question de définir les mécanismes pouvant limiter le recours à l’agriculture sur brulis. 2. Valorisation des déchets agricoles : c’est la réutilisation de la biomasse d’origine végétale et animale. Ces déchets proviennent soit des opérations de récolte, de post-récolte, des effluents d’animaux et des déchets provenant des agro-industries. Les différents intervenants ont unanimement milité pour la mise en œuvre d’une politique nationale axée sur le tri, le traitement et la valorisation des déchets ménagers et agricoles, utilisables pour la fertilisation des sols et l’alimentation animale (compostage, bois raméale fragmenté, biochards) ainsi que pour la production d’énergie et de biogaz. Скрыть

Les Ministres chargés de l’Agriculture, M. Biendi MAGANGA MOUSSAVOU, et des Eaux et Forêts, M. Lee White, ont participé aux échanges. Le Ministre chargé de l’Agriculture, M. Biendi MAGANGA MOUSSAVOU, a indiqué que le Gabon met en œuvre un Plan National d’Affectation des Terres (PNAT) qui permet d’opérer une répartition durable des terres, via la Commission Nationale d’Affection des Terres (CNAT). Actuellement, le Gabon est en train d’entrer dans un système d’agriculture intense et dans cette optique, il est primordial d’éviter les excès et de prendre en compte la pr... Подробнееéservation de l’environnement. Cette démarche touche aussi le secteur de la pêche qui fait l’objet d’une exploitation durable par la conservation des ressources halieutiques, notamment face aux pêcheries thonières de l’Union Européenne. L’enjeu de cette concertation est de proposer des mécanismes qui permettent de stimuler les secteurs agricoles et halieutique tout en respectant l’environnement ainsi que de résoudre les problématiques Homme-Faune qui touchent le monde rural. Il s’agit de défendre les modèles du « Gabon vert » et du « Gabon Bleu », qui sont bénéfiques pour l’ensemble de la planète. Le Ministre des Eaux et Forêts, M. Lee WHITE, a expliqué que dans certains pays de l’Afrique de l’Ouest, les forets ont été décimées, ce qui a poussé les populations villageoises à se déplacer sur plusieurs kilomètres afin de trouver de l’eau. Contrairement à ces États, en Afrique centrale, le bassin du Congo qui s'étend sur six pays, résiste bien aux changements climatiques. Les questions Climat-Environnement-Agriculture deviennent critiquent pour le maintien de la paix et de la sécurité en Afrique. Les secteurs de l’Environnement et de l’Agriculture ne sont pas en concurrence, ils œuvrent ensemble, à optimiser les terres au Gabon, par exemple, la mise en place des zones agricoles à forte productivité (ZAP) s’est faite en respectant le PNAT et le projet prévoit des couloirs de forêts pour garantir la pluviométrie dans ces zones. Grâce à la conservation de sa forêt, le Gabon absorbe la majorité des émissions des gaz à effet de serre (un tiers des émissions de la France). Ce rôle primordial du Gabon commence à être reconnu par les instances internationales. Le Ministre des Eaux et Forêts a tenu à rappeler que le Gouvernement ne s’inscrit pas dans la sauvegarde totale de la forêt mais dans une exploitation de façon durable qui permettra sa préservation et aboutira à des créations d’emplois dans l’avenir. La transition agricole et le développement l’industrie agricole doivent être réalisés en utilisant les nouvelles méthodes agricoles. Скрыть

Résultats spécifiques du sujet de discussion 1 : « Promotion de bonnes pratiques d’une agriculture climato-compatible/ Promotion de l’utilisation des intrants performants et utilisation rationnelle des pesticides » : 1. Promouvoir une agriculture innovante et intégrée en vue d’atténuer les effets du changement climatique ; 2. Renforcer les capacités des petits producteurs dans les pratiques de choix de semences saines ; 3. Collaborer avec les experts de la météorologie nationale pour actualiser les calendriers culturaux en vue de palier aux problèmes liés au climat ; 4. Forme... Подробнееr les agriculteurs dans la mise en place des composts ; 5. Promouvoir l’utilisation des biofertilisants ; 6. Promouvoir la recherche-développement sur les méthodes empiriques des petits producteurs ; 7. Vulgariser les formulations des bio-pesticides en vue de limiter l’utilisation des pesticides de synthèse ; 8. Promouvoir les pratiques qui contribuent à la fertilisation des sols ; 9. Impliquer la recherche dans l’actualisation des calendriers culturaux ; 10. Mettre en place des centres de multiplication des semences adaptées aux changements climatiques ; 11. Caractériser les Bonnes Pratiques utilisées et les vulgariser ; 12. Renforcer l’appui conseil auprès des agriculteurs ; Скрыть

Les discussions ont tournées autour des différentes actions à entreprendre pour rendre accessible à tous à des aliments sains et nutritifs. Ainsi, trois thématiques ont été développées : 1. Accroissement durable des productions agricole, animale, halieutique, cynégétique et des produits forestiers non ligneux : accès au foncier, aux intrants et la petite mécanisation 2. Renforcement du cadre juridique et normatif en faveur de la sécurité alimentaire et nutritionnelle 3. Promotion de l’information et de l’éducation nutritionnelle à travers la mise en place des guides, des ... Подробнееcurricula sur la nutrition Скрыть

Conclusions de la thématique 1 : 1. Développer un système National semencier en créant notamment des Centres de production de semences certifiées 2. Promouvoir l’accès aux financements des producteurs 3. Accroître le financement de la recherche scientifique et impliquer les agro-industries ; 4. Développer les infrastructures d’abattage aux normes sanitaires 5. Organiser les circuits de commercialisation en privilégiant les circuits courts d’approvisionnement local 6. renforcer la structuration des filières agricoles en promouvant la mise en place des interprofessions ; 7. Prot�... Подробнее�ger et Sécuriser la forêt face aux pratiques illégales ; 8. Encourager la mécanisation 9. Accroitre le budget du département de l’Agriculture en vue de respecter les accords de MAPUTO et MALABO 10. Promouvoir le développement de la production des PFNL alimentaires à haute valeurs nutritionnelles Conclusions de la thématique 2 : 1. Faire inscrire l’objectif de de la sécurité alimentaire et nutritionnel dans la Constitution ; 2. Mettre en œuvre des politiques en matière de nutrition 5. Renforcer le cadre législatif et règlementaire en finalisant les textes d’application des lois promulgués ; 6. Adopter un texte réglementaire portant libéralisation des produits alimentaires en application de la loi n°023/2008 du 10 décembre 2008 portant politique de développement agricole durable ; 7. Adopter un texte portant réglementation des activités de maraîchage; 8. Elaborer des normes d’affichage pour informer et sécuriser le consommateur 9. Réformer le cadre législatif et réglementaire en vue de favoriser l’accès au foncier des petits exploitants Conclusions de la thématique 3 : 2. Promouvoir une gestion durable des forêts afin valoriser les Produits Forestiers Non Ligneux 3. Promouvoir la consommation des produits locaux alimentaires riches en apport nutritionnel 4. Caractériser les régimes alimentaires sur le plan national et leurs apports nutritionnels 5. Vulgariser les guides alimentaires 7. Renforcer les capacités de la recherche 8. Intégrer l’éducation nutritionnelle dans les curricula de formation dès le pré-primaire ; 9. Renforcer la sensibilisation des populations sur la nutrition à travers les différents supports de communication 10. Utiliser les NTIC pour vulgariser les informations en matière de nutrition 11. Promouvoir l’activité physique et sportive pour lutter contre l’obésité 12. Promouvoir l’approche genre (hommes) dans l’éducation alimentaire des enfants 13. Renforcer la collaboration entre le département de la santé et les autres secteurs qui traitent des questions de l’éducation alimentaire et nutritionnelle Скрыть

El diálogo fue sobre la temática de “Adopción de Modalidades de Consumo Sostenible”, con la participación de los diversos actores regionales pertenecientes al mundo académico, sociedad civil, sector público y privado, con el objetivo de poder establecer un diagnóstico base en esta materia como también definir algunas acciones a realizar con una mirada regional para así abordar las brechas existentes.

Los principales problemas que enfrenta la región de Tarapacá son los siguientes: • Falta de producción local de alimentos saludables: Los factores climáticos han sido gatillantes para la baja del cultivo y la crianza. La pandemia también ha afectado el consumo en algunas comunas como por ejemplo la comuna de Colchane, y se están generando estrategias de crianza de gallinas para la producción de huevos. Otro factor es la migración de la población más joven desde sectores agrícolas a sectores urbanos, lo que podría tener efectos en la agricultura de la zona. No hay muchos espacios ... Подробнееpara realizar huertos urbanos o comunitarios, y se tiende a priorizar la extracción minera más que la agropecuaria, generándose escasa producción local. • Problemas de acceso físico y económico a alimentos saludables: Tarapacá es una región extrema geográficamente y hay una alta movilidad regional para transporte de los productos agrícolas, lo cual encarece producción y venta, y el precio de frutas y verduras. Esto puede generar dificultades para que las familias puedan acceder a una alimentación sana y balanceada. Por otro lado, en el caso de los productores existe una dificultad de acceso al mercado de proveedores locales, sin intermediarios, por lo que disminuye la oferta de este tipo de alimentos. La falta de agua y salinidad del terreno en la región, por ejemplo de Colchane, ha afectado el cultivo de alimentos como la quinoa y la crianza de animales. • Falta de educación sobre hábitos alimentarios y consumo de productos saludables, por lo mismo existe un sobreconsumo de alimentos de baja calidad nutricional y se refleja en los altos índices de obesidad que presentan niños, niñas y adolescentes. Con respecto a las canastas de los programas de alimentación escolar en pandemia se destacó que al parecer no son de exclusivo consumo de los niños, niñas y adolescentes, sino que también de sus familias, por lo que no se asegura una adecuada alimentación a los menores. • Faltan políticas públicas en área de acuicultura y pesca: Respecto de la pesca artesanal el principal problema es la falta de algas que disminuye la cantidad de peces, esto sumado al cambio climático, y la falta de políticas públicas. Lo que hace que los pescadores artesanales traten de proyectar la pesca sustentable, pero se dificulta debido a la deficiencia de las políticas públicas. • No hay gestión adecuada de residuos orgánicos e inorgánicos: Los puntos verdes son escasos en la región, pues no se tiene infraestructura de tratamiento de reciclaje o tratamiento de desechos, como en Santiago. Скрыть

Las conclusiones más relevantes fueron: • Potenciar la producción y consumo local: se plantea que esto permitiría aumentar las ventas de productores locales y las oportunidades de comercialización de pequeñas empresas y agricultura familiar. Además se sugiere potenciar las ferias libres en las comunas, donde también puedan participar productores de comunas cercanas, y cultivar el desierto, a través de la organización de diversos actores. Se sugiere potenciar políticas públicas que permitan regular precios de alimentos saludables producidos en la región y programas para la agricul... Подробнееtura. Seguir ejemplos como el Programa Europeo “Sistema colmena dice que si”, que conecta al productor con el consumidor, reduciendo intermediarios, disminuyendo los precios y fomentando mayor inversión. Se plantea la necesidad de que intervengan distintos ministerios y servicios del sector público sumando esfuerzos y recursos. • Educación en alimentación saludable y sostenibilidad de los sistemas alimentarios: Se planteó la necesidad de hacer un levantamiento de información o diagnóstico de la región para poder implementar programas educativos con relación a la alimentación saludable y seguridad alimentaria. También educar a los niños, niñas y adolescentes en relación al medio ambiente, realizando refuerzo desde los adultos, quienes son los proveedores de los alimentos en los hogares. Actualmente se destaca en los jardines infantiles, programas de huertos donde incluso los niños y niñas consumen lo que cultivan, y realizan reciclaje y reutilización de alimentos. Se reafirma que educar desde la niñez nos permitirá generar hábitos a largo plazo y tener practicas sustentables de alimentación para las futuras generaciones. Realizar talleres en los colegios de alimentación saludable, de reciclaje, que sean talleres dinámicos con la toda la familia, y que perduren el tiempo, como una materia transversal y obligatoria. Para la población en general, hay que fortalecer la educación en el conocimiento de lo que uno consume y su descripción para lo que sirve cada producto, lo que se ha implementado a través de folletos en el terminal pesquero. • Crear políticas públicas ajustadas al territorio y con enfoque de sistema alimentario: Crear políticas diferenciando el centro urbano regional a la provincia del Tamarugal, diferenciando también a los productores, de compradores intermediarios y del consumidor final, y de sus capacidades. Apoyar a los agricultores a trasladar sus productos a zonas con mayor dispersión geográfica, ayudando así a los consumidores que no cuentan con electricidad y capacidad para mantener por largo tiempo los productos en sus casas. Скрыть

Se indica en la región que debe haber una participación transversal involucrando a distintos actores del sistema alimentario, como son la propia comunidad, la academia, las autoridades, mundo público y privado, con el fin de generar estrategias en común para el consumo sostenibles. También, se cree que hay que reforzar las políticas públicas en torno al territorio y a la producción local, para potenciar el consumo interno y fortalecer la soberanía alimentaria de la región y la sostenibilidad.

Panel discussion on the theme “what should we do for realizing sustainable food systems?” was conducted with the participation of experts. The participants discussed issues to be dealt with for enhancing sustainable food systems and stakeholders’ roles at each stage. The detail of the discussion is attached.