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Thématique 7: Chaîne de valeur du lait et des produits laitiers Acteurs non étatiques (ANE), Région de Tahoua Q1 : Quels sont les problèmes actuellement rencontrés ? • Manque de structure de santé animale ; • Manque des centres de transformation des produits locaux ; • Cherté de de l’énergie ; • Insuffisance des compétences technique ; • Insuffisance dans la promotion des espèces à haute valeur productive • • Q2 : Situation souhaitée dans 10 ans ou comment veut-on voir la situation améliorée dans 10 ans ? Q3 : Quelles actions (reforme ; intervention, investisseme... Read morent…) peuvent être mises en œuvre pour parvenir au changement voulu d’ici 10 ans ? Read less

Thématique 8: Normalisation des produits agroalimentaires Acteurs du Gouvernement, Région de Tahoua Q1 : Quels sont les problèmes actuellement rencontrés ? • Insuffisance dans l’identification des produits agricoles à normaliser et leur répertoire • Méconnaissance des normes et standards internationaux (des intrants au conditionnement) • Méconnaissance du processus de normalisation et des coûts associés Q2 : Situation souhaitée dans 10 ans ou comment veut-on voir la situation améliorée dans 10 ans ? • Maximum des produits agrosylvopastoraux et halieutiques (ASPH) identif... Read moreiés et normalisés • Le processus en cours pour la normalisation du Clichi (viande séchée) et de l’oignon « Violet Galmi » finalisé et étendu à d’autres produits similaires ou de la même catégorie Q3 : Quelles actions (reforme ; intervention, investissement…) peuvent être mises en œuvre pour parvenir au changement voulu d’ici 10 ans ? • Identifier, répertorier, les produits ASPH • Normaliser, les produits ASPH • Vulgariser les normes existantes et définir de nouvelles normes pour un large éventail de produits ASPH Read less

Thématique 9: Chaîne de valeur du poisson (pêche et aquaculture) Groupe Institutions gouvernementales, Région de Tahoua Q1 : Quels sont les problèmes actuellement rencontrés ? • Ensablement des points d’eau • Prolifération des espèces envahissantes • Pêche frauduleuse • Déstructuration de l’habitat du poisson • Méconnaissance de la politique nationale de la pêche • Contamination par des ordures ménagères Q2 : Situation souhaitée dans 10 ans ou comment veut-on voir la situation améliorée dans 10 ans ? • Réaliser l’autosuffisance en poissons • Assurer l’... Read moreexportation du poisson Q3 : Quelles actions (reforme ; intervention, investissement…) peuvent être mises en œuvre pour parvenir au changement voulu d’ici 10 ans ? • Aménagement des points d’eau ; • Réhabiliter l’habitat ; • Vulgariser la politique nationale en matière de pêche ; • Formulation et financement d’un projet structurant en matière de pêche Read less

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Neuf (9) thématiques différentes ont été discutées par les groupes d’acteurs (étatiques et non étatiques) dans la concertation organisée dans les deux régions (Agadez et Tahoua). Les piste d’action et leviers de changements se recoupent dans plusieurs thématiques et ont été étudiés transversalement, tant dans le diagnostic de la situation que dans l’expression de la situation souhaitée d’ici 2030 et dans l’identification des voies de changement pour parvenir aux transformations souhaitées. Thématique 1: Approvisionnements alimentaires et commerce (y compris e-commerc... Read moree) Acteurs non étatiques (ANE), Région de Tahoua Thématique 2: Recherche pour le développement rural Acteurs du Gouvernement, Région de Tahoua Thématique 3: Chaines des valeurs des légumineuses et/ou des fruits et légumes Acteurs non étatiques (ANE), Région de Tahoua Thématique 5: Financement des systèmes alimentaires Acteurs non étatiques (ANE), Région de Tahoua Thématique 6: Vulgarisation agricole au Niger (y compris e-agriculture) Acteurs du Gouvernement, Région de Tahoua Thématique 7: Chaine de valeur du lait et des produits dérivés Acteurs non étatiques (ANE), Région de Tahoua Thématique 8: Normalisation des produits agroalimentaires Acteurs du Gouvernement, Région de Tahoua Thématique 9: Chaîne de valeur du poisson (pêche et aquaculture) Acteurs du Gouvernement, Région de Tahoua Thématique 10: Chaine de valeur du mil Acteurs non étatiques (ANE), Région de Tahoua Read less

En matière d’approvisionnements alimentaires, les groupes ont identifier la construction, la réhabilitation et l’entretien routier comme des leviers importants pour le désenclavement. Des moyens de transports adaptés sont nécessaires y compris l’utilisation de camions frigorifique pour les produits périssables qui nécessitent le respect de la chaine de froid. L’amélioration des moyens de communication y compris l’accès à Internet sont aussi nécessaires. La recherche coûte chère ; elle est très peu financée et les résultats peu ou pas suffisamment vulgarisés. Il est n... Read moreécessaire d’avoir un cadre approprié et d’allouer un budget suffisant pour permettre à la recherche de contribuer au développement rural et de proposer des innovations et de l’appui-conseil aux utilisateurs. Pour cela, il faut développer un cadre de partenariat entre les institutions de recherche Les chaînes de valeur des légumineuses et Fruits et légumes sont faibles particulières les fruits et surtout basées sur le maillon production. La transformation/conservation est le maillon le plus faible, ce qui se traduit par des pertes post-récolte/post production. Des investissements majeurs sont nécessaires renforcer les maillons de transformation, de conservation, transport y compris à travers les véhicules frigorifiques pour le respect de la chaine de froid des fruits et légumes. Des unités de collecte et transformation de lait sont à créer et promouvoir dans chaque région et département du Niger. La chaine de valeur du mil se heurte à l’insuffisance des semences adaptées, à la dégradation des sols, un faible accès aux intrants agricoles et faible mécanisation. Les solutions proposées portent sur la levée de ces contraintes. La chaine de valeur du poisson a un grand potentiel qu’il faut renforcer avec le développement de l’aquaculture continentale en vulgarisant la politique nationale des pêches, en aménageant les points d’eau et mettant en place un projet structurant en matière de pêche. La Vulgarisation agricole et l’appui-conseil se heurtent à un problème de connaissances et de maitrise de techniques et innovations agricoles. C’est pourquoi il faut développer durablement les synergies entre la recherche et les services de vulgarisation et restructurer les organisations paysannes. En matière de normalisation des produits agrosylvopastoraux et halieutiques (PASPH), l’insuffisance d’identification des produits agricoles à normaliser et leur répertoire, la méconnaissance des normes et standards internationaux (des intrants au conditionnement) et la méconnaissance du processus de normalisation et des coûts associés sont parmi les principaux obstacles. Le renforcement des capacités techniques et opérationnelles des acteurs et des institutions en charge de normalisation, la vulgarisation des normes existantes et la définition de normes pour un large éventail de PASPH sont requis pour un meilleur fonctionnement des systèmes alimentaires. Le contrôle de qualité le long des maillons de chaine de valeur des denrées alimentaires est aussi nécessaire pour renforcer la sécurité sanitaire des aliments. Le processus de normalisation de violet de Galmi et de la viande séchée (Clichi) est en cours Les systèmes alimentaires sont insuffisamment financés. Mettre en place des institutions de financement au niveau local en lien avec les fonds existants au niveau central. Une meilleure organisation des organisations des producteurs en association ou coopérative structurée avec une plus grande bancarisation des avoirs sont des réformes nécessaires pour renforcer leur capacité de mobilisation des financements. Read less

Thématique 1: Approvisionnements alimentaires et commerce (y compris e-commerce) Acteurs non étatiques (ANE), Région de Tahoua Q1 : Quels sont les problèmes actuellement rencontrés ? • Les voies de communication (routes, pistes….); • Insuffisance de couverture réseau téléphonique et internet ; • Insuffisance des magasins et des marchés structurés ; • Coût élevé de transport ; • La concurrence déloyale Q2 : Situation souhaitée dans 10 ans ou comment veut-on voir la situation améliorée dans 10 ans ? • Améliorer l’état des routes ; Sécuriser les voies de commun... Read moreication ; • Quelles Développement des voies de communication : • Création des magasins et marché structurés ; • Réduction du coût de transport ; • Politique de valorisation des produits locaux ; Q3 actions (reforme ; intervention, investissement…) peuvent être mises en œuvre pour parvenir au changement voulu d’ici 10 ans ? • Entretiens réguliers des routes ; Réhabilitation et construction des routes • Réalisation des infrastructures marchandes ; • Subventionner les produits locaux ; • Achat des produits locaux auprès des petits producteurs Read less

Thématique 2: Recherche pour le développement rural Acteurs du Gouvernement et Acteurs non étatiques (ANE), Région d’Agadez Acteurs non étatiques (ANE), Région de Tahoua Q1 : Quels sont les problèmes actuellement rencontrés ? • Manque de financement ; • Insuffisance de cadre approprié de recherche. • Q2 : Situation souhaitée dans 10 ans ou comment veut-on voir la situation améliorée dans 10 ans ? • Cadre de recherche opérationnalisé ; • Allouer une part du budget pour la recherche. Q3 : Quelles actions (reforme ; intervention, investissement…) peuvent être mises en... Read more œuvre pour parvenir au changement voulu d’ici 10 ans ? • Réhabiliter, financer et valoriser la recherche • Développer le partenariat avec les institutions de recherche Read less

Thématique 3: Chaines des valeurs des légumineuses et/ou des fruits et légumes Acteurs du Gouvernement et Acteurs non étatiques (ANE), Région d’Agadez Acteurs non étatiques (ANE), Région de Tahoua Q1 : Quels sont les problèmes actuellement rencontrés ? • Manque des centres de transformation des produits locaux ; • Cherté de de l’énergie ; • Insuffisance des compétences techniques ; • Insuffisance dans la promotion des espèces à haute valeur productive • Insuffisance des semences adaptées Q2 : Situation souhaitée dans 10 ans ou comment veut-on voir la situation am�... Read more�liorée dans 10 ans ? • Création des centres de transformation des produits locaux ; • Promouvoir les énergies renouvelables ; • Renforcer la création des centres de formation professionnelle spécialisés dans la transformation ; • Vulgarisation des espèces productives ; Q3 : Quelles actions (reforme ; intervention, investissement…) peuvent être mises en œuvre pour parvenir au changement voulu d’ici 10 ans ? • Création des centres de transformation des produits locaux ; • Promouvoir les énergies renouvelables ; • Renforcer la création des centres de formation professionnelle spécialisés dans la transformation ; • Vulgarisation des espèces productives ; Read less

Le Groupe 5 « Dialogue mixte des acteurs étatiques de divers secteurs (Agriculture, santé, protection sociale, éducation…) sur la thématique : « Chaine de valeur du poisson (Pêche et aquaculture) » Q1 : Quels sont les problèmes actuellement rencontrés ? • Changement climatique impactant sur la promotion de la pêche et l’aquaculture (assèchement des marres, ensablement du fleuve, prolifération des plantes envahissantes aquatiques) ; • La non disponibilité des aliments de qualité pour l’aquaculture ; • Insuffisance des spécialistes dans le domaine de l’aquaculture ;... Read more • Surexploitation des ressources (non-respect de la réglementation) ; • La pollution, l’inondation la sécheresse ; • L'envahissement des plantes aquatiques ; • L'insécurité, la pandémie de la COVID 19 ; • Conservation du poisson ; • La non disponibilité du poisson ; • L’inaccessibilité du poisson ; • Conflits entre éleveurs et pêcheurs Q2 : Situation souhaitée dans 10 ans ou comment veut-on voir la situation améliorée dans 10 ans ? Développement de la filière aquaculture ; • Disponibilité du poisson en quantité et en qualité ; • Contribution accrue du secteur de la pêche et de l’aquaculture à améliorer la situation alimentaire et nutritionnelle de la population • Création d’emplois et de revenus aux acteurs intervenant dans la chaine de valeur Q3 : Quels sont les atouts pour améliorer la situation d’ici 10 ans ? • Disponibilité des marres et des retenues d’eau ; • Existence du fleuve Niger ; • Disponibilité des techniciens ; • Disponibilité des sites favorables à l’aquaculture ; • Existence de la Stratégie nationale de développement durable de l’aquaculture (SNDDA) 2020-2035 et son plan d’action ; Q4 : Quelles actions (reforme ; intervention, investissement…) peuvent être mises en œuvre pour parvenir au changement voulu d’ici 10 ans ? • Promotion de l’aquaculture pour la production des alevins qui contribuent à diminuer la pression sur les ressources et luttent contre la malnutrition ; • Transformation du poisson en d’autres produits dérivés tels que « Indomi », poisson séché et mis en paquet et en farine en particulier par les femmes et les jeunes ; • Empoissonnement massif des marres ; • Installation des unités de fabriques d’aliment pour poissons ; • Renforcement de capacité des aquaculteurs • Elaboration et vulgarisation du décret d ’application de la loi 2021 003 du 16 Mars 2021 portant régime de la pêche et de l’aquaculture au Niger • Acquisition des équipements moderne de transformation et stockage et conservation du poisson • Creusage plus profond des mares pour en améliorer la profondeur • Désensablement du fleuve pour faciliter la pêche • Accompagnement du secteur privé • Promotion de l’élevage de poisson en rizière • Promotion de la pisciculture en cage flottante dans les sites maraichers Recommandations • Mobilisation des ressources pour le développement de la chaine de valeur de la pêche et de l’aquaculture • Renforcement des capacités des spécialistes en pêche et aquaculture ; • Création d’une agence pour la mise en œuvre et le suivi de la Stratégie nationale de développement durable de l’aquaculture (SNDDA) Read less

- La subvention des intrants agricoles : certains acteurs en séances plénière ont trouvé que cette recommandation avait du sens uniquement à court terme, car il crée une dépendance eux subvention, peut créer une distorsion sur la concurrence et les activités du secteur privé, mais peut aussi à long terme représenter un fardeau financier important pour l’état. D’autres au contraire pensent qu’un pays comme le Niger ne peut éliminer la faim sans subvention aux intrants et équipements agricoles - Le financement extérieur non aligné aux priorités nationales : C’est une r�... Read more�alité dans certains cas ; cependant il y a aussi des cas où les ressources disponibles et alignées ne sont pas utilisées et sont retournées aux Donateurs. Il est donc nécessaire de travailler sur les deux paliers, l’alignement aux priorités nationales, et le renforcement des capacités de planification et d’absorption des ressources allouées. - La bio-fortification des aliments : le concept de bio-fortification n’est pas bien connu et est trop souvent assimilé aux organismes génétiquement modifiés ; c’est une des raisons par exemple pour lesquelles la bio-fortification ne fait pas l’unanimité au Niger, en particulier auprès du Ministère de l’Agriculture. Il a donc été demandé de bien clarifier qu’il ne s’agit pas ici des OGM, mais de la sélection végétale et du croisement entre variétés pour aboutir à une variété nutritionnellement plus dense. - Les lois et les décrets pris par le gouvernement ne sont pas systématiquement suivis respectivement de décrets et d’arrêtés d’application ce qui rend difficile leur application dans les secteurs productifs alimentaires pour certains tandis que pour d’autres notamment de la primature pensent que la loi est immédiatement applicable. Read less

Le Groupe 4 « Dialogue mixte des acteurs étatiques de divers secteurs (Agriculture, santé, protection sociale, éducation…) sur la thématique 1: « Recherches et innovations sur le développement du monde rural » Q1 : Quels sont les problèmes actuellement rencontrés ? • Méconnaissance des bonnes pratiques de production et transformation ; • Faible vulgarisation des technologies disponibles ; • Faible accessibilité aux technologies innovantes ; • Faible capacité d’investissement ; • Faible accessibilité à l’énergie ; • Faible appui à la recherche ; • Désengage... Read morement de l’Etat à la recherche ; Q2 : Situation souhaitée dans 10 ans ou comment veut-on voir la situation améliorée dans 10 ans ? • Les producteurs maitrisent les bonnes pratiques ; • Les transformateurs maitrisent les bonnes pratiques ; • Les technologies performantes disponibles sont vulgarisées; • Accès facile aux technologies innovantes; • La capacité d’investissements des acteurs dans les technologies innovantes est améliorée; • Énergie disponible à moindre coût ; • Les capacités de recherches sont renforcées; • La recherche sur les problèmes nationaux est financée. Q3 : Quels sont les atouts pour améliorer la situation d’ici 10 ans ? • Acteurs motivés • Existence de centres de formation et de recherche ; • Potentiel important en matières premières ; • Existence de certaines technologies localement testées et adoptées; • Existence du Fonds d’Investissement pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle (FISAN) • Existence de la Banque Agricole du Niger (BAGRI) • Existence des plateformes de services intégrés comprenant des boutiques d’intrants, radio communautaire, magasin de stockage et de vente de produits, conseillers agricoles (…) dites « Maison du Paysan » (MP) • Existence du le Système National de Conseil Agricole mis en œuvre par l’Agence de Promotion du Conseil Agricole (SNCA/APCA) • Existence du Réseau national des Chambres d'Agriculture du Niger (RECA) et des plateformes des organisations paysannes et organisations des producteurs • Existence du Conseil national de la recherche agronomique du Niger (CNRA). Q4 : Quelles actions (reforme ; intervention, investissement…) peuvent être mises en œuvre pour parvenir au changement voulu d’ici 10 ans ? • Formation des acteurs sur bonnes pratiques (production et transformation) ; • Renforcer les services de vulgarisation en ressources financières matérielles et humaines ; • Renforcer les capacités des centres de formation et recherches • Opérationnaliser les maisons du paysan (MP) Recommandations • Promouvoir les bonnes pratiques et les technologies pour la modernisation du monde rural Read less

Le thème général de la concertation est : « Quelles actions de transformation des systèmes alimentaires pour la modernisation du monde rural et l’amélioration de l’état nutritionnel des nigériens en relation avec l’atteinte des ODD” Après la cérémonie officielle d’ouverture et l’introduction en plénière, les échanges se sont poursuivis en travaux de groupe. 5 groupes ont été constitués : 1- Dialogue de haut regroupant des acteurs du Gouvernement pour discuter de la thématique « Gouvernance multisectorielle, décentralisation opérationnelle et financement des sys... Read moretèmes alimentaires : quelles actions et approches en zone stables et zones fragiles » ? 2- Dialogue de haut regroupant les partenaires techniques et financiers pour discuter de la thématique « Gouvernance multisectorielle, décentralisation opérationnelle et financement des systèmes alimentaires : quelles actions et approches en zone stables et zones fragiles » ? 3- Dialogue des acteurs de la société civile et du secteur privé sur la thématique « Approvisionnement des marchés ruraux et urbains en fruits et légumes (Chaines de valeur des fruits et légumes) » 4- Dialogue mixte des acteurs étatiques de divers secteurs (Agriculture, santé, protection sociale, éducation…) sur la thématique : « Recherches et innovations sur le développement du monde rural » et « Biofortification par sélection végétale et promotion des variétés naturellement riches en micronutriments » 5- Dialogue mixte des acteurs étatiques de divers secteurs (Agriculture, santé, protection sociale, éducation…) sur la thématique « Chaine de valeur du poisson (Pêche et aquaculture) » Les groupes 1 et 2 ont travaillé en répondant à une série de questions posées à la suite de l’analyse situationnelle proposées, alors que les autres groupes ont d’abord discuté de l’état actuel de la situation (diagnostic), Ils se sont projetés dans la situation souhaitée dans 10 ans (2030), ont identifiés les atouts et leviers disponibles pour booster la transformation, puis ont proposé des reformes et investissements nécessaires pour parvenir à ces transformations pour des SA durables en 2030. Chaque groupe a disposé d’un facilitateur et de deux rapporteurs dont un a partagé les résultats du travail en session plénière. Dans chaque groupe, chaque participant a eu l’opportunité de s’exprimer librement pour faire valoir ses idées. Les travaux de groupe ont durée 2 heures chacun (de 11h à 13h) et la restitution en plénière a pris 1h30 (de 15h à 16h30) Read less

Il est ressorti des discussions ce qui suit : (1) Les systèmes alimentaires jugés complexes avec des interactions multiples rendant difficile l’intégration systématique des actions nécessaires, utilisant l’approche système, pour les adapter aux besoins nutritionnels ; (2) Les mécanismes de financement des systèmes alimentaires ont besoin d’un réel changement des pratiques et de paradigme budgétaires publics et des donateurs pour tendre vers des fonds communs sectoriels en plus du fond d’investissement pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle (FISAN). Il faut donc chan... Read moreger note façon de mobiliser et d’utiliser les ressources ; (3) L’adoption des lois et des décisions qui ne sont pas systématiquement suivies des décrets ou arrêtés d’application rend difficile l’action des secteurs concernés ; (4) Les prix des fruits et légumes sont élevés en Afrique de l’Ouest en général et au Niger en particulier. Comment le Niger peut-il s’inspirer de l’expérience du Kenya et de l’Afrique du Sud disposant des prix relativement bas desdits produits par exemple et comment mettre en place des politiques d’importations suivies pour combler les gaps actuels? (5) La pertinence ou non des subventions d’intrants agricoles qui portent au Niger sur les équipements agricoles et les engrais et le besoin de les étendre aux actions post-récoltes ; (6) La pertinence de l’aquaculture au Niger et son avantage comparatif face aux contraintes de sa mise en place dans un contexte sous-régional où les pays côtiers sont plus avancés. Les importations ne peuvent-elles pas être la meilleure option dans ce cas ? Les défis des pêches artisanales et l’empoissonnement des mares ont été évoqués notamment la surexploitation ou plutôt les faibles capacités de production par rapport aux besoins ; (7) L’accès est difficile aux semences adaptées des légumes comme la tomate durant toute l’année pour éviter des baisses de production et d’accès saisonniers des légumes frais produits au Niger. Comment rendre les innovations technologiques semencières plus accessibles aux petits exploitants ruraux et péri-urbains ? (8) La nécessité d’insister sur la bio-fortification par sélection végétale pour ne pas ouvrir la porte aux aliments bio- fortifiés par transgénèse ou organismes génétiquement modifiés (OGM) ; (9) La recherche et la dissémination des innovations sur les systèmes alimentaires coûtent chères et sont sous-financées, c’est pourquoi il faut des priorités bien définies centrées sur des technologies innovantes pour les petits exploitants par exemple pour le financement public. Il est également suggéré des alliances avec des institutions sous-régionales pour mutualiser les efforts. Le financement public de ce secteur doit être prévisible dans la durée pour percevoir ses dividendes ; (10) La vulgarisation agricole et l’éducation des consommateurs progressent grâce à la création de l’Agence de Promotion du Conseil Agricole et un projet d’envergure nationale d’amélioration de la vulgarisation agricole avec des approches nouvelles d’adaptation des besoins aux marchés ; (11) Les petits exploitants qui produisent 70 % des calories disponibles doivent être protégés par rapport au gros business agricole même si ce dernier n’est pas encore fréquent mais en progression ; (12) La compréhension commune en construction est nécessaire et l’utilisation de la terminologie qualifiant les systèmes alimentaires (durable, équitable, sain, sensible….) doit être harmonisée et maitrisée. La concertation a mis en évidence les nombreux défis à surmonter et l’énorme potentiel d’adaptation des systèmes alimentaires pour devenir dans l’avenir un puissant levier d’amélioration de la justice sociale et du bien-être de tous les nigériens. Read less

Le Groupe 1 « Dialogue de haut regroupant des acteurs du Gouvernement » sur la thématique « Gouvernance multisectorielle, décentralisation opérationnelle et financement des systèmes alimentaires : quelles actions et approches en zone stables et zones fragiles » ? Le groupe a eu à répondre à 4 questions posées à la suite d’une brève description de l’analyse situationnelle. Q1 : Quelles actions prioritaires le gouvernement peut-il prendre pour accélérer le processus de décentralisation et déconcentration des services pour un meilleur fonctionnement des systèmes alimentaire... Read mores ? • Evaluation de besoin et potentialités d’accompagnement des communes et • Renforcement de capacité de pilotage des collectivités territoriales ; • Amélioration de la fonctionnalité et le leadership des cadres de concertations, • Renforcement du maillage des services techniques et promotion de l’intersectorialité. Q2 : Comment le Gouvernement compte-t-il améliorer le financement des systèmes alimentaires et à travers quels mécanismes ? • En renforçant la disponibilité des ressources et le fonctionnement du Fonds d’Investissement pour la Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle (FISAN); • Rehausser le niveau de financement du FISAN et de la Banque Agricole du Niger (BAGRI) pour atteindre les ambitions fixées; • En renforçant le mécanisme et la capacité d’achat de vivres par l’Office des Produits Vivriers du Niger (OPVN) après les récoltes afin s’approvisionner chez les producteurs en quantité et à temps pour valoriser la Stratégie Nationale d’Achat Locaux Auprès des Petits Producteurs (SNALAPP). Q3 : Comment les documents de politiques et de programmation (DPPD, PAP) peuvent-ils intégrer systématiquement des systèmes alimentaires durables et sains (sûrs et diversifiés) ? • Faire un alignement entre les documents de planification stratégique-planification opérationnelle et la loi des finances; • Travailler pour l’application effective et à tous les niveaux de la directive de l’UEMOA sur les budget-programme avec davantage de transfert vers les régions responsables de la mise en œuvre opérationnelle • Bien cibler le cycle du budget et mener un plaidoyer pour que les besoins exprimés par les ministères et les collectivités local soient mieux couverts Q4 : Comment le Gouvernement peut-il créer un environnement favorable au développement du secteur agro-alimentaire privé ? • Développer l’approche de partenariat public-privé (PPP); • Dimensionner les unités de production (UP) de façon proportionnelle aux capacités de production; • Mettre en place un mécanisme de subvention des intrants agricoles; • Définir et opérationnaliser un mécanisme pour l’allégement de la fiscalité Défis au développement des SA • Décentralisation et déconcentration peu effectives des services techniques en fonction des spécificités locales; • Problème foncier (conflit droit moderne- droit traditionnel), • Financement extérieur non aligné aux priorités nationales; • Insuffisance de ressources humaines et matérielles au niveau des services techniques des collectivités territoriales; Recommandations • Décentralisation et déconcentration des services techniques en fonction des spécificités locales; • Alignement du financement extérieur aux priorités nationales; • Amélioration de la formulation de textes sur la décentralisation en vue de gérer le foncier; • Création d’un fonds commun de financement de la sécurité/systèmes alimentaires (approche programme); • Résolution des distorsions entre la loi des finances et les outils de planification des ministères et collectivités locales; • Pilotage multisectoriel très fort Read less

Le Groupe 2 « Dialogue regroupant les PTFs sur la thématique « Gouvernance multisectorielle, décentralisation opérationnelle et financement des systèmes alimentaires : quelles actions et approches en zone stables et zones fragiles » ? Le groupe a eu à répondre à 4 questions posées à la suite d’une brève description de l’analyse situationnelle. Q1 : Quelles actions prioritaires les PTF peuvent-ils prendre pour appuyer le gouvernement (GVT) à accélérer le processus de décentralisation et déconcentration des services pour un meilleur fonctionnement des systèmes alimentaires... Read more (SA)? A travers le plaidoyer avec des actions prioritaires suivantes : • Mise en place des mesures d’accompagnement de la transition ; • Application effective de la loi sur la décentralisation (prendre des mesure d’accompagnement, mettre en place un mécanisme de renforcement des capacités de la gouvernance locale) • Renforcement du niveau régional et départemental A travers le renforcement des capacités avec des actions prioritaires suivantes : • Effectivité de la décentralisation ; • Appui technique pour rendre effective la décentralisation • Renforcement de l’intégration des questions des systèmes alimentaires sains dans les plans de développement communaux (PDC), plans de développement régionaux (PDR) et les plan d’investissement annuels (PIA) • Appui à l’identification des organisations de de la société civile (OSC) qui pourront apporter un appui technique au niveau de la gouvernance locale Q2 : Comment les PTF peuvent –il davantage appuyer le GVT à améliorer le financement des SA et à travers quels mécanismes ? Le financement des systèmes alimentaires nécessite une priorisation préalable des chaines de valeur qui doivent renforcer une alimentation saine • Plaidoyer pour la décentralisation du financement des systèmes alimentaires dans les PDC et PIA • Appui à l’élaboration d’un dossier d’investissement (pour montrer ce qu’on gagne en investissant dans les systèmes alimentaires) et ses supports de communication • Alignement des PTF aux priorités du GVT • Appui au GVT pour le passage à l’échelle des initiatives qui ont donné de bons résultats • Respect des engagements pris par les PTF pour le renforcement du financement des associations à la base et le nexus humanitaire- développent -paix (HDP) • Appui au GVt pour l’organisation des tables rondes de mobilisation de ressources Q3 : Comment les PTF peuvent-ils mieux coordonner les financements et leur appui technique pour soutenir le GVT dans le renforcement des actions prioritaires, y compris le partenariat public –privé pour les SA durables et sains? • Bâtir sur la base des cadres de redevabilité : GVT, PTF, OSC • Accompagner l’état dans la rédaction des documents stratégiques ; • Accompagner le processus actuel gouvernemental sur le NEXUS HDP • Investir dans la capitalisation du NEXUS HDP • Promouvoir le dialogue entre le GVT et le secteur privé pour le renforcement de la chaine de valeur, la responsabilité sociale des entreprises, l’employabilité des jeunes et des femmes ; • Soutenir la génération des données, des évidences et capitalisation des expériences sur les SA sains et durables • S’inspirer de l’expérience du fonds commun Santé (du MSP/P/AS) pour attirer des financements pour les SA Q4 : Comment les PTF peuvent-ils soutenir le GVT pour permettre que les documents de politique et de programmation intègrent systématiquement les SA durables et sains? • Appui technique et financier pour rendre les politique et programmations sensibles aux SA • Appui à la vulgarisation des documents de politique et programmation et à leur mise en œuvre Recommandations • Créer un cadre de redevabilité des plateformes de coordination des PTF des SA • Créer un groupe de PTF sur le SA/ cadre de concertation pour une démarche holistique des SA (Définition des rôles et responsabilités, terme de référence…) • Accompagner le gouvernement sur le Nexus HDP (interventions et financements) • Appuyer la capitalisation des expériences du Nexus HDP • Mobiliser le potentiel de financement, assistance technique pour que les fonds jouent pleinement leur rôle et contribue aux objectifs nationaux. Read less

Le Groupe 3 « Dialogue des acteurs de la société civile et du secteur privé sur la thématique « Approvisionnement des marchés ruraux et urbains en fruits et légumes (Chaines des valeurs des fruits et légumes) » Q1 : Quels sont les problèmes actuellement rencontrés ? • La disponibilité et l’irrégularité de l’offre (les matières premières, exemple de la tomate) ; • L’accessibilité (L’acheminement des matières premières aux niveaux des marchés, enclavement, infrastructure, tracasseries routières, conditionnement des produits) • La production (la non disponibili... Read moreté des variétés adaptées) ; • L’insuffisance dans la vulgarisation de la technologie adaptée (les serres et autres technologies) ; • L’insuffisance de financement de la chaine de valeur fruits et légumes ; • La non maitrise des marchés ; • La non maitrise du circuit de distribution (structuration, conservation, commercialisation,) ; • Faible diversification des exploitations familiales ; • Manque d’une organisation interprofessionnelle de la chaine de valeur fruits et légumes ; Q2 : Situation souhaitée dans 10 ans ou comment veut-on voir la situation améliorée dans 10 ans ? • La sécurisation des personnes et des biens ; • Disponibilité permanente des fruits et légumes ; • Amélioration des conditions d’accès aux marchés ; • Une autosuffisance des fruits et légumes ; • L’interprofession de la chaine de valeur est créée et opérationnelle • SIMA (Système d’information sur les Marchés Agricoles) Q3 : Quels sont les atouts pour améliorer la situation d’ici 10 ans ? • Disponibilité des terres irrigables et eaux souterraines • L’engagement politiques ; • Disponibilité de la main d’œuvre ; • L’existence de la stratégie nationale de développement de la chaine de valeur ; • L’existence de la demande ; • La disponibilité des instituts et écoles de recherche agronomique ; • La stratégie ZLECAF (zone de libre-échange continentale africaine) ; • Disponibilité d’un potentiel des énergies renouvelables (solaire, l’eau) ; • La disponibilité des partenaires d’accompagnements • L’existence de l’axe stratégique de l’accélération de la croissance économique (PDES) ; Q4 : Quelles actions (reforme ; intervention, investissement…) peuvent être mises en œuvre pour parvenir au changement voulu d’ici 10 ans ? • Elaborer et mettre en œuvre un plan opérationnel de développement de la filière fruits et légumes ; • Moderniser les moyens de transport ; • Accroitre la production fruits et légumes ; • Elaborer et mettre en œuvre un plan de désenclavement des bassins de production existants ; • Décréter une journée nationale de promotion de la filière (fruits et légumes) ; • Mettre à l’échelle la pratique des jardins potagers (amélioration de l’état nutritionnel) Recommandations • Créer une filière fruits et légumes dans les écoles ; • Mettre à jour le répertoire des marchés (Cartographie) ; • Mettre en place un comité de suivi de la mise en œuvre des recommandations de la filière (fruit et légumes); Read less

La consulta sobre los Sistemas Alimentarios de las provincias de Coclé y Veraguas tuvieron como lema “Cerrando brechas para la seguridad alimentaria”. El objetivo principal era determinar la futura dirección de los sistemas alimentarios en este territorio, hacia la consecución de los ODS explorando las opciones de cambio necesarios para darle sostenibilidad a los sistemas alimentarios del país para el año 2030 y situar al proyecto dentro del contexto de trabajo intersectorial que realizará el Gobierno Nacional y los actores de la cadena alimentaria nacional. Sobre la base de las cinc... Read moreo vías de acción definidas para la Cumbre de Sistemas Alimentarios 2021 (1. Garantizar el acceso a alimentos sanos y nutritivos para todos. 2. Adoptar modalidades de consumo sostenibles 3. Impulsar una producción favorable a la naturaleza 4. Promover medios de vida equitativos 5. Crear resiliencia ante las vulnerabilidades), se adoptaron cuatro preguntas orientadoras que se utilizaron en todas y cada una de las sesiones de consultas realizadas. Las dos primeras preguntas hacen referencia a algunas acciones que se pudieran impulsar y nuestro papel como actores para avanzar hacia un sistema alimentario sostenible, mientras que las dos últimas tienen que ver con el abordaje de estos sistemas en las políticas públicas. Las preguntas orientadoras fueron: 1. ¿Cómo podemos lograr que el sector alimentario contribuya a la seguridad alimentaria y nutricional, fortaleciendo la participación de la población en el proceso productivo, comercialización, patrones de consumo y manejo adecuado de desechos de alimentos? 2. ¿Qué deberían hacer los actores del Sistema Alimentario para reducir o compensar los impactos negativos generados en los procesos productivos, procesamiento, transporte, almacenamiento, intercambio y consumo de los productos alimenticios? 3. ¿Cómo son abordados los sistemas alimentarios en las políticas públicas? ¿Cuál considera usted sería el reto principal para su aplicación y cómo afectan a sus actores los conflictos por los regímenes de tenencia y derechos sobre la tierra y el agua? 4. ¿Cómo pueden las políticas públicas contribuir a mejorar la seguridad alimentaria y nutricional con el propósito de garantizar el derecho a la alimentación, a la seguridad alimentaria y nutricional, el consumo de productos saludables de calidad? ¿Qué mecanismos existen para impulsar la inclusión de las mujeres y jóvenes? Read less

Entre los principales hallazgos encontrados en la consulta, con los actores de las provincias de Coclé y Veraguas, destacan los siguientes: Establecimiento de Alianzas Público-Privadas. Planificación de la producción para disminuir sobre producción y pérdida de alimentos. Impulsar trabajo social comunitario incluyente, que impulse una cultura de producción de alimentos. Crear alianzas entren comunidades, universidades y colegios, para fomentar la producción de alimentos sostenibles. Fomento de la agricultura orgánica. Apoyo a los agricultores para tener acceso a créditos. Fortalecer ... Read moreorganizaciones comunitarias. Estadísticas reales sobre el manejo de desechos sólidos. Agilización en los trámites para titulación de tierras. Cambio en las políticas sobre la tenencia del agua. Apoyo a la innovación y tecnologías a través del acceso al crédito. Agricultura resiliente. Asignación de recursos para la implementación de las políticas públicas. Inclusión de jóvenes y mujeres en los sistemas alimentarios. Promover hábitos de consumo saludables desde la familia que contribuyan a disminuir la obesidad. Promover la agricultura desde la niñez hasta a los estudiantes en las universidades. Read less

A continuación, se presentan los principales aportes identificados en la consulta realizada con actores de las provincias de Coclé y Veraguas, por cada pregunta orientadora: 1. ¿Cómo podemos lograr que el sector alimentario contribuya a la seguridad alimentaria y nutricional, fortaleciendo la participación de la población en el proceso productivo, comercialización, patrones de consumo y manejo adecuado de desechos de alimentos? • Fortalecer los actores del sistema alimentario, con políticas integrales y trabajo intersectorial que incluyan: alianza público-privadas, acceso a tecnolog... Read moreía, asistencia técnica, titulación de tierras y/o acceso a éstas, comercialización equitativa por regiones, organización de la producción para evitar la sobreproducción y pérdida de alimentos, programas alimentarios, entre otros, haciendo énfasis en poblaciones con mayor vulnerabilidad. • Impulsar el trabajo social y comunitario que involucre a las familias, niños, niñas y adolescentes fomentando la cultura de producción de alimentos de manera sostenible. • Implementar alianzas entre comunidades agrícolas, universidades, colegios con énfasis agropecuario para fomentar la producción de alimentos sostenible. Read less